Nous vous proposons quelques explications ce matin sur les signes donnés et qui nous aidaient à discerner qui serait le pape de la Promesse. Le combat est rude pour croire, parce que certains éléments n’ont pas été compris.
Comme membre du secrétariat, je pose cet acte d’humilité de reconnaître mes propres interprétations sur les critères donnés. Je connais la responsabilité d’être porte-parole d’un lieu d’apparition, et de transmettre les messages d’un mystique, autant pour le salut des âmes que pour la responsabilité d’être dépositaire de la parole de Dieu. Nous avons des comptes à rendre sur ce que nous faisons des grâces du Ciel, et c’est dans ce devoir d’authenticité que je prends la parole.

Il y a des signes indiscutables
Hier, nous avons vu avec stupéfaction la réalisation de nombreux signes et éléments ; l’élection le 8 mai, en soirée. Le 8 est le chiffre de la Madone de la Réparation, la fumée blanche était entre 18h et 18h20. Nous avions annoncé déjà le début du conclave le 7 mai, et l’élection le 8 mai. Nous avions annoncé l’anneau du pêcheur qui a été lié au chiffre 11.
La fumée blanche, les cloches, la calotte blanche, tout cela était annoncé lié au chiffre 8. Ensuite, il est bien progressiste, dans la lignée de Bergoglio auquel il a fait référence. Sa carnation est bien étrange (sa couleur de peau n’étant pas à proprement parler de blanche), il a parlé de Paix et d’Amour, il est aussi marial comme nous l’avons vu avec l’Ave Maria reprise place Saint Pierre.
Il était papabile, mais pas parmi les plus haut placés. Effectivement, nous avons tous été surpris ! Ce n’était pas Tagle, bien qu’il semblait correspondre, parce que sa position de Papabile principal rappelait l’adage : qui rentre pape au conclave ressort cardinal.

Il y a des signes avec des difficultés d’interprétations
Viennent ensuite les interprétations dont je suis responsable, mais qui n’incombent pas à Henri. Le pilier marial avec douze étoiles et l’anagramme était un élément de la vision donnée par le Saint Enfant Jésus. Nous avons pensé à ce moment-là au blason du cardinal Tagle, ce qui était illogique en soi, nous disant que peut être il sortirait de ce conclave comme pape. Alors nous avons illustré cet élément de cette manière. Henri a validé cette rapide représentation, informant au secrétariat que ce n’était pas judicieux de prendre cet élément. Hier matin avant l’élection, Henri nous a demandé de publier sur la Vierge de Pompéi. Le 8 mai, effectivement, c’est la fête de la Madone de Pompéi, qui se trouve représentée sur un pilier entourée de douze étoiles. Sa sainteté Léon XIV en fait référence dans son discours. Ainsi, il apparait que j’ai fait une erreur sur l’interprétation de ce symbole. Le blason du cardinal Tagle était bien moins symbolique que celui de la fête du jour. Erreur de ma part d’avoir pris cette représentation dans le document. Quoi qu’il en soit, nous n’avons transmis aucune information publique que ce serait Tagle qui serait élu et avons refusé de le faire, même si nous avions pu le penser au secrétariat à certains moments. Je demande pardon à Jésus, Marie et Joseph pour cette utilisation peu judicieuse.
Pour la carnation étrange, le Ciel donne l’indication qu’il s’agit du vêtement des Augustiniens de couleur noire. On comprend dans le discours de Léon XIV que cet ordre religieux a une grande importance pour lui, la raison pour laquelle le Ciel a donné la lettre A (pour Augustinien) et pour laquelle la carnation a cette signification. Nous avions pensé au secrétariat qu’il s’agissait de la couleur de peau, comme nombre d’entre vous sans doute. C’est vrai dans un certain sens, car n’étant pas blanc mais légèrement mat ; mais l’explication du Ciel doit primer.
Sur le nouveau nom, Henri avait transmis que le nom était un nouveau nom différent de ses prédécesseurs. Cela, je l’ai transmis sous la phrase : un nouveau nom différent de TOUS les prédécesseurs. C’est moi qui ai mal pris et transmis l’information. Je demande pardon à chacun pour cela, car je comprends votre trouble. Ceci expliqué, le nom de Léon rentre dans les critères, car pas porté depuis plus de 120 ans. Ajoutons qu’en interne Henri a indiqué un lien avec le combat contre Satan sur ce nom, information que nous n’avons pas compris qu’il fallait transmettre ; mais que nous relisons après coup à sa sainteté Léon XIII et ses exorcismes. Voilà notre misère, entre toute la masse d’information que nous avions, notre interprétation et ce que nous avons transmis suite à nos interprétations. Nous avons fait un filtre, malgré tout le travail réalisé.

Un acte de foi à poser
Les signes indiscutables sont forts, et ils sont faits pour entrainer notre acte de foi. Avec tous les miracles, tous les signes, tous les éléments de toutes ces années, pas de doute possible, Henri transmet bien la parole et uniquement la Parole de Dieu. Notre acte de foi à tous est sollicité à travers les autres éléments que le Ciel a transmis et qui nous semblent étonnants dans leurs explications. Cela pour autant est l’explication du Ciel face à notre esprit carthésien qui bute. Sommes-nous prêts à suivre la Madone, qui indiscutablement a choisi son pape, ou bien butons nous sur la carnation étrange, sur le nouveau nom ? C’est un acte de foi que nous avons devant nous.
Nous tenons à faire cette lettre d’humilité en reconnaissant donc solennellement notre tort, et que ces incompréhensions ne soient pas retournées contre Henri, auquel nous tenons.
Que le Seigneur vous bénisse. Soyons en action de grâce pour Léon XIV, le pape de Fatima et celui de l’Ordre Romain.

Le Porte Parole


Commentaires

Une réponse à « Devoir d’humilité ! »

  1. Avatar de bernadettefroidevaux
    bernadettefroidevaux

    Merci cher Amaury de votre réponse si humble à nos questions. Mais soyez bien sûr que quand nous ne comprenons pas, nous continuons à faire totalement confiance à Henri… et à vous aussi. C’est humain de chercher à comprendre et donc d’interpréter. Redites bien à Henri notre affection. Nous espérons que vous l’avez vu à Rome. C’est souvent la façon de faire de Dieu : Il nous purifie avant de nous faire de grands cadeaux. Je vous reste toute proche… auprès d’Henri et du Saint Père. Bernadette

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