
Après une nuit de Grande passion, chers frères et sœurs, demandons des sentiments nobles, la mortification, que nous puissions pleurer nos péchés. Joignons nos larmes à celles de notre Mère, à Vierge des douleurs. Réparons nos négligences sans nombre, notre ingratitude, notre tiédeur. Nous ne pouvons plus nous contenter de prier du bout des lèvres. Si nous voulons renouveler la face du monde, si nous voulons changer les cœurs, si nous voulons que l’humanité ne soit plus crucifiée dans d’ignobles guerres, d’ignobles injustices, nous devons nous empresser à nous unir pour réparer. Devant le tombeau, pensons que, comme Jésus l’a martelé hier soir dans la Passion, les crimes sans nombre des hommes exigent une réparation nécessaire. Ne doutons plus un seul instant de la nécessité absolue d’une urgente réparation, d’une réparation solennelle. Ô Dieu, toi qui es mort pour moi et à cause de moi, pardon et miséricorde !

Laisser un commentaire