Henri : L’Ange de la Miséricorde apparait dans une grande lumière. J’embrasse le sol en trois fois en acte de réparation comme il me l’a appris et je me signe. Il tient dans sa main gauche un écriteau en bois avec cette inscription gravée : « 35° 13′ 47, I’’E»
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
L’Ange de la Miséricorde : En cette année Jubilaire Pessa’h et Pâques se rencontrent aux cours des 1700 ans du premier Concile Ecuménique de Nicée. Cette année, la date de Pâque est commune pour toutes les Églises d’Orient (1) et d’Occident (2). Le concile de Nicée avait suggéré la science pour déterminer la date de Pâques, le premier dimanche suivant la première pleine lune après l’équinoxe du printemps. Avec le Grand Schisme d’Orient sur les points théologiques (3) et liturgiques (4), les deux frères (5) célèbrent la fête de Pâques à des dates différentes, ce qui rend inaudible l’annonce de la Résurrection.
A l’heure où les chrétiens sont persécutés partout dans le monde, où les divisions grandissent, ce besoin d’unité devient le signe tangible d’un témoignage de Foi. Mon instrument, deux calendriers (6) distincts pour un même Mystère éloignent les deux frères. Vous devez travailler avec sagesse pour donner un chemin à travers le dialogue pour l’unité. Notre Seigneur saura mettre à votre disposition l’aide nécessaire pour y parvenir. Vous ne serez pas seuls pour remplir ce mandat. Cette année de l’Espérance voit les Promesses de la Rose Mystique (7) se réaliser. Le signe qui vous a été montré par Notre Seigneur Vous renseignera sur ceux qui arrivent.

(..partie du Message omis…….)
Je vous envoie dire aux deux frères que le moyen de régler définitivement le litige et ainsi coordonner les deux calendriers liturgiques est de déterminer I’équinoxe par des instruments scientifiques et par les données astronomiques à partir du méridien de Jérusalem (8). C’est seulement ainsi que prendra fin le conflit : un règlement liturgique par la concordance des calendriers ecclésiastiques existants avec la formule de Nicée. Une seule voix doit résonner, un seul cœur doit battre afin que soit proclamé d’une seule âme « Christ est ressuscité ! Oui, Il est vraiment ressuscité !». Le Deuxième Millénaire de la Rédemption en 2033, avec le 2000e anniversaire de la Résurrection du Christ doit trouver unis les deux frères par les liens de l’Amour fraternel et inébranlables dans une communion unanime en la solennité de la Résurrection de Notre Seigneur.
Au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
1=orthodoxes
2= catholiques
3= querelle du Filioque, primauté papale
4= divergence sur les rites, calendrier
5= catholiques et orthodoxes
6=Julien et Grégorien
7= la Madone avec les 3 roses
8=35° 13′ 47,I » E
Commentaire du message donne par l’Ange de la miséricorde à Henri le 1er avril 2025.
En cette année jubilaire consacrée à l’Espérance, l’Eglise catholique est appelée à revoir son identité à travers la Révélation, l’Ecriture Sainte et le Magistère. Elle doit se guérir et se purifier de tout ce qui pollue le vrai visage de l’Épouse de Jésus-Christ, qui la veut toute sainte, immaculée à ses yeux, pour être le sacrement du mystère du Christ Rédempteur et de l’Espérance pour toute l’humanité.
Au cours des siècles, la sainte Église catholique et apostolique a malheureusement souffert de divisions causées par des malentendus, des thèses théologiques et le problème de la primauté du siège universel de l’Église. Au XIe siècle, nous avons la scission entre l’Église d’Occident et l’Église d’Orient, dans laquelle la primauté pétrinienne et Rome comme capitale de l’Église universelle ne sont plus reconnues. Au 16e siècle, avec la Réforme protestante, nous avons une autre scission avec les 92 thèses luthériennes.
Dans le message de l’Ange de la miséricorde, ce problème de division qui persiste depuis plusieurs siècles est mis en évidence, même avec les dates de la fête principale, qui est Pâques, cette séparation est mise en évidence.
En cette année jubilaire, le Ciel nous demande de travailler à l’unité des deux Églises sœurs qui sont toutes deux nées du côté du Christ Seigneur.
Nous lisons dans la première lettre aux Corinthiens les versets 10 à 13
« Je vous exhorte donc, frères, par le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, à avoir tous un même langage, à ne pas avoir de divisions parmi vous, mais à être dans une parfaite unité de pensée et de sentiment. 11En effet, frères, il m’a été rapporté par les parents de Cloé qu’il y a de la discorde parmi vous. 12Je veux parler du fait que chacun de vous dit : « Je suis de Paul, “Je suis d’Apollos, ”Je suis de Céphas, »Et moi, je suis du Christ.
13 Le Christ est-il divisé ? Paul a-t-il été crucifié pour vous ? Ou avez-vous été baptisé au nom de Paul ? »
Comment nous, baptisés, pouvons-nous créer des groupes d’appartenance au détriment de l’unité de l’Église de Jésus ? Jésus seul est mort pour tous en sacrifiant sa vie pour tous les pécheurs.
Dieu veut et aime l’unité dans l’Église et parmi ses enfants consacrés par le baptême.
Par le péché et la folie de l’homme, nous avons divisé la robe du Christ.
L’Église, qui est le mystère du Christ avec sa passion, sa mort et sa résurrection, est le sacrement de l’unité pour tous les peuples.
Jésus a dit dans l’Évangile de Jean :
« Quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai à moi tous les hommes » ( Jn 12, 32-33 ).
La mort de Jésus sur la croix est la source et la lumière de l’unité de l’Église.
De la Croix du Christ, nous avons la pleine révélation de la Très Sainte Divinité :
« Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous saurez que je suis. » ( Jn 8,28 )
Nous savons que JE SUIS est la révélation de la divinité du Dieu très saint.
Nous pouvons donc résumer que Dieu en son Fils, le Verbe éternel, exprime sa volonté que tous les hommes soient sauvés et sanctifiés par son Fils, réalisant par la passion, la mort et la résurrection de l’Agneau immolé le Corps mystique du Christ qu’est l’Église catholique, sacrement de l’amour et de l’unité.
Le Crucifié nous révèle ce mystère.
Aucun homme ni aucune autorité ecclésiastique ne peut aller à l’encontre d’une telle volonté divine, c’est un péché grave.
Ici, la miséricorde de Dieu le Père a donné un message d’espoir, nous aidant à prendre les bonnes mesures pour atteindre à nouveau et être une seule Église, l’Épouse du Divin Époux.
Don Giuseppe

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