
Non satisfaits d’avoir passé une loi encourageant les femmes à sacrifier leurs enfants sur l’autel de leurs intérêts propres, les satanistes se rangent derrière une nouvelle bannière de mort. Il est envisagé une loi pour réhabiliter les femmes condamnées autrefois pour avoir tué leurs bébés.
Autrefois, ce qui était un acte abominable et impensable est devenu licite et indiscutable. Les paradigmes ont été tellement inversés que nous ne sentons plus l’écume de mort qui sort de notre bouche.
Choisir la vie est un long processus. Nombre d’entre nous avons été élevé avec la pensée que la liberté de choisir la mort est une bonne chose et nombre d’entre nous sommes tourmentés par des pensées de mort, de découragement, de desespérance. Notre Seigneur n’est pas dans ces pensées là. Il est la Vie. Il nous regarde, nous laissant dans notre liberté choisir de tuer nos enfants, choisir de changer notre identité et devenir stérile, choisir de nous séparer de la vie. De nous séparer de Lui.
Il faut bien prendre conscience que dans notre condition humaine, nous sommes pécheurs. Ce péché individuel rejaillit par l’éloignement de la grâce à titre personnel et des répercussions sur la société et la nature ; comme le rappelle la conférence de Puebla de 1979 dans laquelle sa sainteté le pape Jean Paul II définit les structures du péché.
Cette conférence rappelle que l’homme péche et se dégrade par son éloignement du Sauveur. Le Sauveur aussi souffre en retour de l’éloignement de ses créatures. Tout le monde est perdant. C’est l’image du fils prodigue qui disperse toutes ses grâces.
Si socialement le péché se multiplie et s’accepte par de schémas de pensée et des lois, chaque âme se détache du divin. Cet état nous fait du mal physiquement, nous avons des cancers, des maladies, des dérèglements, des problèmes climatiques ou environnementaux en conséquences. Pour un retour à une Foi jaillissante pleine de miracles et d’émerveillement, pour un retour à une vie saine, simple, légère, douce, il faut alors faire le constat que l’écume du mal nous sort de la bouche, que nos pensées sont des pensées perverses, pleine de fausseté. Les pleurs face à la prise de conscience de notre douleur actuelle permet une belle contrition et alors Dieu rétablit en nous sa Lumière !
N’attendons pas que l’écume sorte davantage, que le mal prenne racine dans nos lois pour faire le constat que nous souffrons. Notre Seigneur, à cause de la liberté, nous laissera éprouver des douleurs plus intenses tant que nous persisterons à le chasser de notre vie. Dieu peut tout et chassera le mal dès que nous plierons le genou en espérant son Amour et sa Miséricorde.
Prions, Réparons, Consolons Jésus
Le bureau de l’Espérance en Marie

Laisser un commentaire