
Nous nous interrogeons sur le sens profond qui a amené une femme à concélébrer une messe supposément catholique au Brésil. Le 9 février 2025, une prêtresse anglicane a été invitée à prendre part à la concélébration de la messe d’installation de Monseigneur Odelir José Magri, nouvel archevêque de Chapeco.
Cette situation s’étant déroulée en toute connaissance de cause, et les canons du droit ayant été violés, nous nous demandons pour quelle raison il n’y a pas eu de réaction de la part du clergé.
Une femme n’a pas le droit, comme laïc, de toucher les saintes Espèces (§ 907), ce qui nous le rappelons s’adresse à tout laïc même lors de la sainte communion.
En l’occurrence, cette femme est anglicane. Dans son obédience, elle est reconnue pasteur ; mais cela est nul et non reconnu dans l’Eglise catholique. Ce n’est pas brandir la bannière de l’œcuménisme (illégal selon le canon §908) qui justifie la présence d’une personne non en communion avec l’Eglise catholique ; et encore moins sa présence à l’autel !
Ce scandale, ce blasphème, ce sacrilège au cœur même d’une liturgie qui fait la transmission d’une charge apostolique est choquante ! Nous attendons des autorités de l’Eglise de réagir sur ce point. Ce n’est pas des sujets de broutilles qui doivent nous occuper mais des questions de défense de la foi.
Nous l’avons dit, Saint Joseph a averti qu’il y aura des femmes prêtres en plus de femmes diacres.
Quelle image donne-t-on à ceux qui ne font pas la distinction entre anglican et catholiques si ce n’est une femme catholique ? Une femme peut-elle agir in persona Christi lors de la transsubstantiation ?
Quel est le sens pour un anglican d’aller à l’autel, dont le manque d’unité dans leur foi ne permet plus de savoir si on doit croire à la présence réelle ? Pouvons-nous permettre à un non croyant de tenir Jésus Hostie dans ses mains ?
Pourquoi violer le droit canon est-il si tranquillement permis ?
Nous demandons aux plus hautes autorités de Rome de se saisir de la question et d’agir, afin que nous n’ayons plus à voir le scandale d’un évêque consacré au cœur d’une célébration blasphématoire et hérétique.
Prions, réparons, dénonçons.
Marie, Madone de la Réparation, ma Mère, ma Confiance, mon Espérance et mon Salut, Priez sans cesse pour nous qui avons recours à Vous.
Le Bureau de l’Espérance en Marie

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